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page de vie

5 décembre 2007

la comme ca...

La journée commencait pas si mal en fait, mais ca a dégénerer en
2 temps 3 mouvements, et ca me fait penser a plusieurs choses.

La première c'est a quel point la dépression vous atteint, le simple
fait de devoir sortir est un supplice, il faut s'organiser, y penser, se
préparer et se déplacer etc, comme faire un coup de tél, c'est facile
dans la vie, mais pas la, c'est une horreur d'arriver a prendre ce tél,
de composer le no, se présenter, parler et s'expliquer, sans compter
que si c'est pour prendre un rdv va falloir réfléchir a la date et a l'heure.
Tout ca pour dire, que l'on est pas dans un état tout a fait clair, dur
de prendre une décision, le calvaire de penser a ce qu'on va pouvoir
manger etc.

Et par dessus ca vient les dates de Noël, déja que je me sens pas
d'attaque a une fête, pensez encore moins a Noël, et une date ici
et une autre là, et au final, pas de Noël avec mes proches a moi, mais
d'un autre coté, c'est pas ca qui me perturbe le plus, quoi que chéri
a proposer de le faire chez nous avec ma famille, mais la tout devient
très compliqué, si ils viennent et pas elle ca va raler et j'ai meme pas
le courage de faire a manger de tte facon, donc pas besoin d'en parler
plus longtemps, mais ca me perturbe.

Donc mon moralomètre en a pris un coup, mais bon, ca ne fait qu'un de
plus, vivement la fin .

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1 décembre 2007

....

J'ai constaté qque chose hier qui m'a fit du mal, je cherchais ce
qui me dérangeait tellement dans le fait de sortir et de voir des gens,
et j'en suis arrivée a autres choses, a Noël ! Et ben oui, ce que je vais
dire est terrible, mais je n'aime pas aller faire Noël chez ma belle-famille,
pas qu'il soit méchant ou je ne sais quoi d'autres, au contraire, tout est
toujours parfait, on mange bien, tout est nickel, tout le monde est de
bonne humeur, c'est chalereux etc, mais en fait ce qui me dérange, c'est
qu'ils ont tout ce que moi je n'ai plus.
Bon ok ca fait longtemps que y a plus de Noël qui tienne la route, mais je
m'en souvient encore de ce qui tenait la route, on rigolait, c'était bien sympa;
mais maintenant c'est sure, y risque plus d'y en avoir, mon papa n'étant plus
là, pas d'interêt je dirais. Tout ca pour dire que ca m'attriste de voir la bonne
humeur des gens entouré de leur famille ! c'est pas cool, mais c'est comme ca.

Bon, moralomètre du jour : 3.5/10, c'est mieux, j'étais a 2 il y a 2 jours, mais
ca se dégrade souvent en fin de journée, alors on verra.

Hier suis allée faire les courses, ben je pensais pas que des choses si simple
pouvaient devenir si difficile ! difficile comment ? ben c'est juste trop dure de
faire l'effort d'être bien pour sortir, donc s'hjabillé, se coiffer etc, et en plus
faut faire semblant en face des gens, comme si tout allait bien, par chance
j'ai croisé personne que je connais, car ca c'est pire que tout.

Je me répète mais une fois de plus je dors mal, j'arrive plus a dormir, suis
réveillée tout le temps, au moindre truc, le sentiment de somnolé toute
la nuit ! c'est pénible... Et faut que je me décide a prendre rdv chez l'osthéo
car j'ai vraiment trop mal a la nuque, peut etre que ca peut m'aider ...

Aujourd'hui encore des efforts, et j'en fait tout les jours, je vais sortir boire
un café avec une amie, je ne sais pas encore a quel heure, mais je le
ferai.Et ce soir je vais préparer un bon repas pour mon chéri et moi, ca fera
aussi du bien d'etre tout les deux en amoureux a la maison.

Incroyable comme ca peut m'abattre tout ca, j'ai plus de force, plus de motiv,
plus d'envie, plus rien... Et je suis tellement fatiguée, fatiguée de quoi ?
Tel est la question, mais un peu physiquement et le reste mentalement, du
moins c'est comme ca que je le ressent, suis abbatue par cette dépression, qui
me paralyse, ca va du truc le plus simple, se servir un truc a boire a la maison,
meme ca, c'est pénible. (vous devez vous dire,pt1 la pauvre fille ici elle divague),
ben non, meme pas, mais je sais aujourd'hui, qu'une personne qui n'a jamais vécu
de dépression, ou de mini dépression, ne peut pas comprendre le mal qui ronge
de l'intérieur, c'est vraiment difficile ... Et ne croyez pas que j'ai attendu le
dernier moment pour faire qque chose, au contraire, je me bats depuis le début,
mais je n'ai pas été assez forte apparemment, et là j'en peut plus de me battre,
c'est trop dur, meme qu'on doit pas baisser les bras, ben je le fais un moment,
parce que j'ai rien d'uatres a faire, je n'ai plus la force de me battre contre ca et
encore moins la force de mentir toute la journée vis a vis des personne que je
croise, mentir pour parraître en pleine forme et de la meilleure huneur qui soit,
et sachez le , je me débrouille plutôt bien dans le genre !

A chaque fois que je viens ici pour écrire, je n'ai jamais une monstre envie
d'écrire, mais ca vient tout seul, c'est déja ca.. j'dis pas que des choses
interessantes, ok, y a rien dans l'ordre, on comprend pas l'histoire ec, en fait
c'est meme assez nulle comme truc, tant pis.

28 novembre 2007

encore un jour ...

Voilà, j'ai pris la décision d'aller voir un médecin pour m'aider,
je l'ai fait hier et me retrouve comme prévu avec des anti
dépresseurs et un arrêt de travail temporaire pour remise
en forme.

Que dire, mon week dernier a été plutot catastrophique, pas
bcp amusée malgré que c'était qque chose que j'aime
énormément, mais maintenant reste plus qu'a me soigner, mais
par ou commencer ? c'est ca la question. Je ne le sais pas encore,
je vais déja me reposer au mieux, peut etre décider d'aller chez
l'osthéo pour ma nuque et pourquoi pas un petit tour chez le
coiffeur, ca pourrait me faire du bien. Rien qu'a l'écrire mon porte
monnaie crie famine !! mais bon, a voir ...

Je n'ai pas une grande envie d'écrire, tout me passe au dessus de la
tête, pas que je m'en fou mais presque. J'espère y arriver, car il est
clair qu'il faut que ca s'améliore, je ne peut plus continuer a me battre
avec mes idées noires et mon envie de rien.

Et c'est pas dire que je n'ai rien a faire, car le ménage et la cuisine
m'attendent impatiemment, sans compter le reste, mais non, pas
aujourd'hui, ou le strict minimum comme pour habitude ces derniers
temps.

J'ai dis a mon frère que j'étais en arrêt pour ma dépression, mais je
n'ai plus de réponses, j'ai bien peur qu'il ne comprenne pas, mais je
me laisse encore un peu de temps pour essayer de lui expliquer...
j'aimerais vraiment qu'il comprenne, ce n'est pas une tarre et je n'ai pas
envie d'être jugée pour cela, c'est déja bien assez difficile ainsi. Mais
qui peut comprendre une dépression sans l'avoir vécu ?!!

Je me suis tout de même fixé qques objectifs pour la journée, mais je
sens que je vais faire le minimum, c' non plus pas très compliqué,
allez au kiosque et au magasins pour qques bricoles. Je verrai ca cet
après-midi, faudrait aussi que je me décide a faire ces satanés paiement!

J'ai a nouveau mal-dormi, c'est pas que je me réveil tout le temps cette fois,
mais simplement que quand je me réveil, je me sens épuisée, avec le petit mal
de tête qui vient juste après, et une envie de rien, incroyable ...

Gardons espoir, gardons espoir ...

Bon première prise de médic ce matin, je verrai a quand les premiers
effets, bon ou mauvais, y a plus qu'a attendre, en esperant que ca
marche vraiment sur ma boulimie passagère, parce que ca devient difficile,
j'ai déja fait assez d'effort de ce coté la, pas envie de recommencer.

Il me faut trouver un juste milieu entre le manque de mon papa et le fait
de continuer a vivre sans que ca me pourisse la vie si l'on puis dire, a savoir
que je sais qu'il ne dois pas être heureux de me voir ainsi, mais il comprend
aussi que ca fait mal a l'intérieur, un mal terrible, qque chose qui vous fige,
et qui est vicieux et sournoit, il y a un moment ou vous ne gérez plus les
états d'ame, ca vient comme ca, parfois quand on s'y attend le moins, et
c'est la que c'est le pire, car on commence  a ne plus voir les personnes qui
nous entoure, a annuler des invitations etc, tout ca pour ne pas perdre la
face devant tout le monde, parce qu'on s'est rendu compte que ca peut nous
tomber dessus n'importe quand. Et cette énorme tristesse ou grand vide qui
m'habite, dont je n'arrive pas a remplir, et cette agrssivité avec la personne
que j'aime le plus, tellement de chose qui sont des obstacles, et qui deviennent
surtout infranchissable, car je n'ai plus la force.

Voilà comment une vie d'une jeune personne pleine d'entrain et de sourire,
peut basculer du jour au lendemain.

16 novembre 2007

encore 1 journée

Et oui encore une journée sombre, sombre dans ma tête.
je ne me sent pas mieux, peut etre pire a force d'y penser
et je ne sais toujours pas quoi faire, peut etre je manque de
relations sociales, relations avec des amis, mais j'en ai que trop
peu, et la plupart sont la famille, donc ce n'est pas la meme chose.
comment puis.je etre sans amis? on se le demande bien, j'suis
qqun que les gens apprécie quand il me voit, mais je fais tjrs en sorte
de ne pas créer d'autres liens ou de ne pas donner de suite, pi les
amis on les trouve en sortant, et je ne sors plus de chez moi, donc
ca n'arrange pas les choses, j'ai qu'a sortir, mais n'en ai aucune envie,
même d'aller a un anniversaire me coute, parce que je vais devoir mentir
sur moi, avec le sourire et le tout va bien merci, et vous ?

Parce qu'avec les personnes comme mon chéri, je me laisse aller a
mon désespoir et qu'avec les autres un petit peu moi proche je ne
montre rien et ne laisse rien parraître.

Ca me bouffe de m'empifrer a ce point tout les jours et d'être ainsi,
j'en connais qui me dirait ben arrête alors, oui j'aimerais bien, mais je sais
pas comment, c'est bien plus compliquer que ca, c'est une souffrance de
l'intérieur, qui fait mal, très très mal, malgré le fait de savoir que personne
n'aime ou n'aimerait me voir comme ca, je suis comme ca, mais c'est pas moi.

Devrais-je aller voir un psy ? et pour lui dire quoi ? ca va rien changer que je
lui raconte tout ca, et ca me fatigue d'en parler avec qqun qui ne l'a pas vécu.

Je n'ai plus de contact avec ma mère depuis près d'un an, ca ne me manque pas
du tout, mais ca me fais dire que je n'ai vraiment plus bcp de monde autour de moi,
mon petit frère que j'aime énormément, mais a qui je n'arrive pas a parler de tout ca,
mes soeurs, mais c'est différent aussi, mais tout de même bcp plus de contact
avec l'une d'elle, parce qu'elle fait tout pour moi, elle remplace des gens important.
C'est avec mon papa que j'aurais eu besoin de
parler comme maintenant, mais ce n'est plus possible la ou il est, ou très difficilement.

Ensuite ben il y a chéri, mais je n'arrive plus a lui parler, et dès que j'essaie ben je
fond en larmes et il ne sais comment réagir, ce que je comprends.

Je l'ai presque insiter a partir, en lui disant que comme j'étais la ben ce serait tte la
vie donc il n'avais pas d'interet a rester, pour le moment il est encore la, mais si ca ne
vas plus, je comprendrais très bien, car mon attitude n'est pas correct en vers lui.

Mais comment arrêter d'etre malheureuse, de mauvaise oucontrarié ou encore dans
mes pensées quim'attriste. L epire, c'est que tout ce que je fais ou regarde me fais
penser a mon papa, j'allume la radio, une chanson, la télé, qqun a perdu son papa,
dans la rue un enterrement, dans le journal des gens décédé, mais tout ca y était
déja avant, mais avant je pouvais vivre avec, et maintenant je les subis.

Tout le monde croit que je suis pas très famille, mais faudrait en avoir une et une
qui tienne la route, car la mienne avait déja qques soucis avant, et ca n'a fait
qu'empiré, je n'ai jamais eu le sentiment d'avoir une vraie famille commes les autres,
je n'ai jamais eu de mère a qui parler de problème de fille ou quoi que ce soit d'autres,
c'est mon papa qui a tjrs été la pour moi, quoi qu'il arrive, et il me manque tellement.

Ce qui est sure, c'est que si je ne trouve pas la solution a mon problème, et
bien je vais tout perdre, mon chéri et le reste, malgré que ce soit la plus
belle chose qui me soit arrivé, mais je perdrais tout et qque part ben je m'en
fou, j'irais vivre ailleurs ou on ne me connais pas, je resterais chez moi, je
sortirais pour aller travailler et voilà, peut etre aurais je un chat qui me tiendra
compagnie, j'en sais rien .

15 novembre 2007

Ca commence comme ca ...

Et bien oui, j'commence la, au milieu de rien, si l'on puis dire.

De tte façon, c'est un problème récurant, j'me sent mal a
l'intérieur de moi, ce qui fait que forcément ça se reflète a
l'extérieur ! C'est quoi qui vas pas ? ben c'est que je crois ne
tjrs pas avoir digérer la mort de mon papa, je ressent comme un
grand vide a l'intérieur, un manque ou il en ressort que je n'ai plus
envie de faire aucun effort, comme ca en 2 mots, j'ai envie de
mourir, je pourrais au moins aller le retrouver après. Je sais que
pour certaines personnes c'est plutôt dur a comprendre, surtout que
je n'ai jamais été comme ça auparavant, c'est depuis ce fameux jour.

Plus d'intérêts pour la vie, plus de motiv', j'sais mémé pas comment
chéri me supporte d'ailleurs, agressive tout le temps, j'me réveil le
matin j'suis déja mal, désespérée et j'm'en fou, j'fais que de manger,
ça comble un manque, mais ça rajoute un problème, le poids sur la
balance, faudra que je m'arrête ou que je continue et je m'en fou...

J'ai déja testé les anti dépresseurs, les médecins, le psy, mais j'y vois
pas d'intérêts et aucun résultat et de tte façon j'ai pas envie, tout viens
de la, plus aucune envie, je voudrais rester enfermer chez moi jusqu'à
que je meurs enfin, parce que bon. faut le dire, mais le suicide c'est pas
pour moi, du moins pas pour le moment, je préférerait l'accident a choisir.
Je sais que ce que j'écris est pas bien, mais j'en suis arrivé a un stade ou
je ne sais plus prendre de plaisir, je m'enferme chez moi et a l'intérieur de
moi, même ce qui peut me faire sourire, je me force a ne pas le faire !
Franchement je sais que mon papa ne serait pas fière de ce que je fais,
c'est même pas qu'il serait pas fière,car je sais qu'il ne l'ai pas, qui le
serait ?

Mais mon problème est quand même là, j'y avais cru que cette fichue
dépression était partie, mais non, elle me guettait du coin de l'oeil
et au moindre faux pas, vlà, elle vous retombe dessus, au début on se bat
comme un fou, et arrive le moment ou ça fait trop, c'est trop lourd a porter,
trop dur a accepter, et la, ben c'est ce moment, J'en ai perdu mon sourire et
ma joie de vivre, qui avant était très présent dans ma vie, quoi que je me
débrouille encore pas mal, car bcp de personnes ne se doute de rien, je sais
très bien cacher mon jeu...
Quoi qu'il en soit, je doute que des médicaments puisse m'aider, la dernière fois
déja que les effets secondaires ne sont pas a prendre a la légère, je n'ai pas
eu le sentiment que ça m'avait aidé, en fait a ce moment la c'est une dame qui
m'a aidé, elle a plusieurs don, ce serait trop long a expliqué et la j'en ai pas envie.

Si ça a recommencé, y aura bien une raison, ou alors c'est que ça ne s'est
jamais terminé peut être, j'avoue que je penche plus pour cette version là.
mais ça ne change rien a mon problème.

J'ai parfois envie de tout lâcher, chéri et tout, malgré que je l'aime et que c'est
l'homme de ma vie, parce que je lui fait du mal ainsi, et je n'en ai pas envie, donc
je pourrais tout lâcher et aller vivre recluse je ne sais ou, jusqu'à que ça s'arrête,
pkoi je l'ai pas encore fait ? la peur certainement....

Si malgré tout, vous qui passerez peut être par ici et que vous ayez eu le
courage de me lire, même que tout n'est pas cohérent, si vous avez la
moindre solution a me proposer, je veut bien la prendre ...

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